- ou tout en occitan -


« Ce que j'aime, c'est le conte...j'aime écouter et raconter. En français et en occitan , j'ai toujours aimé...

Mes contes préférés ?
Ceux qui parlent de bêtes ou de gens assez écervelés...
J'aime quand la vie tourne bien pour eux, grâce à leur faiblesse, ou malgré elle. Et si ça tourne mal, tant pis !
Et les longues quêtes aussi...quand on a perdu le bonheur ( bien bêtement en faisant juste ce qu'il ne fallait pas!) et qu'il faut longtemps lutter pour le retrouver. »

« Je raconte de préférence en occitan mais j'aime aussi raconter en français. Souvent, je conte en occitan et en français, en jouant des concordances et différences entre les deux langues, ce qui permet à qui ne connaît pas l'occitan d'en goûter cependant la musique...et de découvrir qu'on le comprend vite bien plus qu'on n'aurait cru ! »

Séance contée tout public


Durée : 1h20
  • Contes traditionnels occitans puisés chez J.François Bladé , Justin Bessou, Antonin Perbosc, Marcelle Delpastre... mêlés à des souvenirs et anecdotes recueillis auprès de « mes anciens »: parents, voisins, connaissances.

  • Une ou deux histoires de mon invention

  • Des devinettes occitanes en tous genres : poétiques, étranges, coquines. « La vaca Cardina a un trauc per l'esquina e la molzèm pel front. Qu'es aquò ? »

  • Des mimologismes de tradition qui font parler les animaux comme s'ils étaient des êtres humains.

  • Des virelangues pour s'amuser : «  Lo castèl de Casideròca es tant encasiderocat que lo que lo desencasiderocarà, una desencasiderocadura aurà. »

Contes pour enfants


Des contes :
  • En français, épicé d'occitan
  • Ou pour les groupes qui le désirent, en occitan.

De 3 à 6 ans : contes et comptines
Durée : 45 mn.
Avant et après chaque conte, une comptine occitane très simple. A écouter, à comprendre, à redire... et à retenir en s'amusant.

De 7 à 12 ans : contes, devinettes et mimologismes
Durée : 1 h
Entre les contes, pour goûter la saveur magique de l'occitan, un bouquet de devinettes et de mimologismes.
Par exemple,le coucou si peureux : « Cocut ! Cocut ! Se la branca peta, sèi fotut ! »